PROGRAMME 105 LOGEMENTS
LOCALISATION FACHES THUMESNIL_FR
AVANCEMENT LIVRÉ [2023]
SURFACE SDP 8.250 m²
MONTANT 10.000.000 € H.T.
PERFORMANCE RT2012
MOA BPD MARIGNAN
MOE REDCAT ARCHITECTURE + HDM INGENIERIE + PROFIL INGENIERIE
La parcelle, de forme trapézoïdale, se situe à l’angle de la rue Faidherbe et du Chemin des Margueritois à Faches-Thumesnil. Elle était occupée par des locaux commerciaux, une habitation, un entrepôt et un parking en enrobé. Elle bénéficie d’un linéaire réduit de façade sur rue et d’une profondeur importante.
Le contexte urbain du projet est résidentiel. Il est composé de pavillons en rez-de-chaussée en vis-à-vis du site et de maisons de ville de deux niveaux de part et d’autre du site.
La parcelle d’échelle industrielle dénote dans le tissu résidentiel. Le bâtiment qui accueille cette activité ne propose en façade urbaine qu’un mur de clôture aveugle.
Le contexte urbain du projet est résidentiel. Il est composé de pavillons en rez-de-chaussée en vis-à-vis du site et de maisons de ville de deux niveaux de part et d’autre du site.
La parcelle d’échelle industrielle dénote dans le tissu résidentiel. Le bâtiment qui accueille cette activité ne propose en façade urbaine qu’un mur de clôture aveugle.
L’accès actuel se fait au Nord de la parcelle, à proximité directe du croisement du chemin des Margueritois avec la rue Faidherbe, générant des problèmes de flux.
Le cœur d’îlot, intégralement bâti, n’instaure aucun dialogue avec le parc de l’opération récente située au Nord de la parcelle.
Vu le mauvais état général de sa structure métallique, l’entrepôt n’est pas adapté à une réutilisation. Sa toiture doit être désamiantée.
Le cœur d’îlot, intégralement bâti, n’instaure aucun dialogue avec le parc de l’opération récente située au Nord de la parcelle.
Vu le mauvais état général de sa structure métallique, l’entrepôt n’est pas adapté à une réutilisation. Sa toiture doit être désamiantée.
Pour restructurer la parcelle, le bâtiment existant est entièrement déposé. Ses murs d’héberges sont conservés comme trace du passé industriel du site. Ils sont étêtés et repeints dans le cadre du projet.
Sur le linéaire du Chemin des Margueritois, une inflexion du bâtiment neuf permet de générer une placette à la croisée des deux axes bordant le site. Les accès carrossables au cœur d’îlot sont délocalisés en partie sud du site.
Le projet se compose de deux bâtiments qui proposent deux superpositions typologiques distinctes : des logements traversants et des appartements sous combles dans le bâtiment sur rue, et des logements double orientés surmontés d’un « village » de maisons en cœur d’îlot.
Sur le linéaire du Chemin des Margueritois, une inflexion du bâtiment neuf permet de générer une placette à la croisée des deux axes bordant le site. Les accès carrossables au cœur d’îlot sont délocalisés en partie sud du site.
Le projet se compose de deux bâtiments qui proposent deux superpositions typologiques distinctes : des logements traversants et des appartements sous combles dans le bâtiment sur rue, et des logements double orientés surmontés d’un « village » de maisons en cœur d’îlot.
Le premier accueille 30 logements sociaux. Il prolonge l’implantation, le gabarit et le rythme des maisons voisines, restaurant ainsi une continuité dans le front bâti.
Le deuxième, implanté en cœur d’îlot, referme la composition en U de l’immeuble voisin, et abrite 75 logements en accession. Il est composé de trois strates : un socle ouvert sur les jardins en rez-de-chaussée, deux étages définis par des balcons filants, et un attique de maisons.
Les façades sont traitées en briques de teinte blanche. Les toitures sont en zinc à joints debout et la seconde peau en cœur d’îlot en métal déployé laqué de teinte blanche.
Le deuxième, implanté en cœur d’îlot, referme la composition en U de l’immeuble voisin, et abrite 75 logements en accession. Il est composé de trois strates : un socle ouvert sur les jardins en rez-de-chaussée, deux étages définis par des balcons filants, et un attique de maisons.
Les façades sont traitées en briques de teinte blanche. Les toitures sont en zinc à joints debout et la seconde peau en cœur d’îlot en métal déployé laqué de teinte blanche.
Construire sur la ville déjà là, dans le contexte d’une emprise industrielle uniforme, c’est recomposer le caractère duel du site en rétablissant l’alignement sur rue et en instaurant un dialogue avec les cœurs d’îlots voisins.
